Jean-Louis Servan-Schreiber s’engage pour les Droits humains

Président de l’antenne française de Human Rights Watch
Avec Hélène Renard
journaliste

L’association Human Rights Watch, HRW en abrégé, née aux États-Unis, répandue à travers le monde entier, et dont les rapports en matière de droits de l’homme font autorité, est présente en France depuis l’automne 2007. Son président, le journaliste Jean-Louis Servan-Schreiber, nous en présente les objectifs et les principales actions.

Émission proposée par : Hélène Renard
Référence : pdm328
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_ Jean-Louis Servan-Schreiber raconte, tout d'abord, comment il est devenu le président pour la France de Human Rights Watch, cette association répandue dans de nombreux pays (Berlin il y a deux ans, Bruxelles il y a quinze ans), et dont l'objectif annoncé est de défendre les droits de l'homme à travers le monde.
Plus largement, elle traite des droits de l’enfant, des droits de la femme, des droits des réfugiés, des victimes de racisme, de la torture, de la détention illégale et autres. Un très vaste champ d’interventions…
Le président explique que HRW reste une organisation financièrement indépendante, dont les fonds proviennent de contributions individuelles ou de fondations.

Jean-Louis Servan-Schreiber



En France, le président a constitué un comité de soutien avec plusieurs personnalités (l'écrivain Tahar Ben Jelloun, le cinéaste Costa-Gavras), afin de lever des fonds, tandis que le bureau français est dirigé par Jean-Marie Fardeau.

Comment travaille cette association ? Elle mène des enquêtes, établit des rapports, engage des affaires judiciaires, diffuse des informations, adresse des lettres aux chefs d’État, organise des campagnes, bref agit de manière professionnelle pour communiquer son engagement.

Parmi les actions déjà engagées : le premier dîner annuel « Voix pour la justice » (en novembre 2007) et la conférence de presse « Mobilisation pour le Darfour » (en février 2008). Et elle a l'intention de faire entendre sa voix à Dublin contre les bombes à sous-munitions et de faire signer le traité d'interdiction des mines antipersonnelles.

Vous souhaitez faire un don ? Consulter le site de l’association.


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