L’oeuvre poétique de Jean Mambrino couronnée par l’Académie française

Présentation de Jean Mambrino, l’homme, le poète, suivie d’une lecture de deux poèmes par François Cheng, de l’Académie française.
François CHENG
Avec François CHENG de l’Académie française,

Pour l’ensemble de son oeuvre poétique, Jean Mambrino a reçu en 2005, le prix du Cardinal Grente, décerné par l’Académie française.

Traducteur de poètes (Hopkins, Kathleen Raine), ami de Jules Supervielle et de René Char, familier épistolaire de Georges Simenon, Jean Mambrino a publié près d'une vingtaine de recueils de poésie où "les âmes se frôlent à coups d'aile" pour reprendre les termes de la poétesse russe Tsevetaïeva.

Critique littéraire et dramatique à la revue Les Etudes, après avoir collaboré au Times Literary Supplement et à la BBC, il a publié Le veilleur rougeen 1965, La ligne de feu (éditions José Corti), et autres titres paradoxaux dédiés à ce qui est "ouvert" en nous et ce qui ouvre à bien au-delà de nous, de l'Aube dans les paupières à l'Abîme blanc (éditions Arfuyen, prix Nathan Katz, 2005) ou Comme un souffle de rosée bruissant(éditions Artfuyen)

Jean Mambrino
© Enitharmon Press

"Pour sentir ce qu'avouent les roses en se fânant" : avec ces vers extraordinaires :
"Qu'est devenu le parfum de la rose (...)
Il est passé dans les poumons de celle qui le portera".

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