Mélodie Duval, présente sa thèse sur « la protéine ribosomique S1 au carrefour de la traduction et de l’expression des gènes »

Cette thèse, couronnée du prix Madeleine Lecoq décerné par l’Académie des sciences, montre que la protéine ribosomique S1 permet d’ouvrir les structures secondaires des ARNm avant traduction et qu’elle est un élément essentiel du dégradosome, la structure qui dégrade les ARN, deux résultats tout à fait originaux. Depuis sa thèse, elle est en stage post-doctoral à l’Institut Pasteur à Paris dans l’unité des Interactions Bactéries-Cellules, où elle cherche à comprendre la régulation des gènes chez la bactérie Listeria monocytogenes. Elle a déjà isolé et caractérisé un nouveau gène de résistance à la lincomycine, un antibiotique naturellement présent dans le sol.

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